Tailypo vit dans les Appalaches décrit comme un gros chien avec
C'est un ermite qui vivaitt avec ses trois chiens dans un pauvre cabane dans la forêt. Il avait faim et malgrè la nuit qui commençait à tomber il partit à la recherche du repas du soir. Il parvint à tuer un lièvre qu'il fit cuire à la broche dans sa cheminée et qu'il partagea avec ses chiens. Bien entendu ce n'était pas suffisant il sortit à nouveau pour chasser lorsqu'il une forme curieuse avec des yeux brillants et une longue queue à moitié cachée dans les fourrés. L'ermite tire rapidement sur la créature et lui coupa la queue. En hurlant, la créature s'enfuit dans l'obscurité. Il revint à sa cabane et fit cuire la queue en ragout.
A moitié endormi il entendit des griffes qui raclaient sur le plancher. Il s'éveilla complétement alluma la bourie à la tête du lit pour découvrir dans la pénombre de la pèce deux yeux rouges qui le lorgner depuis le pied du lit. D'une voix surnaturelle, la créature exige le retour de son « tailypo ». Terrifié, l'homme appelle ses chiens, qui viennent aussitôt à son secours, chassant la bête dans la nuit. La créature étant chassée dans les bois, deux des chiens de l'ermite reviennent, mais un manque à l'appel.
L'homme essaie de dormir, mais le Tailypo revient bientôt, réclamant avec encore plus de force le retour de sa queue. Encore une fois, l'homme envoie ses chiens sur le Tailypo, et encore une fois, il en manque un au retour du survivant.
Incapable de dormir, l'homme saisit son arme et attend l'aube, son chien restant à proximité. Lorsque le Tailypo apparaît pour la troisième fois, l'homme ordonne à nouveau au chien d'attaquer le Tailypo. Comme on pouvait s'y attendre, le chien chasse la créature et ne revient pas.
L'homme, désormais sans véritable protection, ayant épuisé ses trois chiens, se recroqueville sous ses draps, priant pour l'aube. Quelques heures avant le lever du jour, l'homme entend le bruissement familier, espérant qu'il s'agit d'un de ses chiens. Malheureusement, l'homme est attaqué par le Tailypo et est soit désarmé, soit a laissé tomber son arme par terreur. La bête est désormais face à face avec l'homme, et elle exige une fois de plus le retour de son "tailypo".
Le plus souvent, l'homme est décrit comme étant écorché au point de devenir méconnaissable par les Tailypo. Dans des versions moins explicites, il ne reste de la cabane que la cheminée. Quoi qu’il en soit, il est entendu que le Tailypo s’est vengé de la perte de sa queue. Pendant les nuits les plus sombres, on peut entendre la créature chuchoter pour son « tailypo » (ou prétendre, à voix basse, qu'elle a récupéré son « tailypo »).